La sophrologie dans le sport : à quoi ça sert ?
Toujours plus loin, plus fort, les limites personnelles sont repoussées, les objectifs toujours plus difficiles à atteindre.
De nos jours les sportif/sportives aussi sont confronté(e)s à des exigences de plus en plus grandes. Leur santé, et parfois leur confiance en soi s’en trouvent fragilisées. La sophrologie offre une autre approche, qui permet aux sportif/sportives de mieux se connaître, afin d’optimiser leurs potentiels. Tout en dépassant les difficultés, ils parviennent à préserver équilibre, et motivation.
Les étapes de la sophrologie dans le sport
A partir d’un certain niveau, le sportif/la sportive va devoir apprendre à se protéger et à s’affirmer. La sophrologie peut l’aider à faire face aux nombreuses pressions.
La sophrologie peut permettre au sportif/sportive de gérer les manifestations toniques du stress pendant la compétition, augmentées si nécessaire pour favoriser la performance, diminuées si elles deviennent excessives.
L’objectif ici est d’accroître les capacités d’adaptation du sportif/sportive, afin de les vivre mieux, et plus efficacement.
Beaucoup de sportifs/sportives, qui ont pourtant tout pour réussir, se retrouvent comme bloqués à cause du manque de confiance en eux. Qu’ils aient peur de l’échec – ou de la réussite – qu’ils dépendent trop du jugement extérieur, qu’ils souffrent d’un sentiment d’infériorité – ou au contraire de supériorité – qu’ils se sentent exclus, aient besoin d’être valorisé, voire admiré : tous ces sentiments amènent parfois le sportif/la sportive à se couper de lui/elle-même.
La majorité des sports requiert un apprentissage technique individuel et/ou collectif. Plus la technique est maîtrisée, plus la performance est meilleure. Avec l’entraînement, la répétition et l’expérience, les gestes techniques, les stratégies possibles, deviennent quasiment automatiques. Plus le niveau est élevé, plus techniques et stratégies se personnalisent. On peut alors parler du style de jeu d’un joueur, ou d’une équipe.